Auteur : Woo
Rainting : PG
Pairing : ChanHo
Genre : Angst/Yaoi
Disclamer : Seule la bouteille de Scotch Wisky m'appartient !
Notes de l'auteur : Je remercie quelqu'un pour m'avoir donné l'idée général, et le moral pour l'écrire.
Ainsi que SnowWhite, pour la première lecture, le premier avis, ainsi que la correction. Je t'aime ptite puce ♥. En fait, je ne sais pas pourquoi mais j'ai envie de mettre cette OS là parce que j'en ai écris une partie en écoutant les U Kiss.
Lorsque tes mains me caressent je me sens défaillir, lorsque ton souffle chatouille mon cou je ne peux qu’apprécier. Alors, explique-moi pourquoi j'ai si mal de ta façon d’agir ?
La neige recouvrait les trottoirs, les quelques passants assez courageux pour sortir ne s'attardaient pas. Je pouvais entendre autour de moi les rires des enfants, les chants de quelques groupes de choristes. Je pouvais sentir le vent frais secouer mes cheveux, je pouvais aussi regarder les vitrines illuminées essayant d'apporter un peu de lumières dans les coins sombres. Je n’étais pas pressé de rentrer, à côté de notre appartement, cette rue me semblait plus accueillante malgré le froid. J'aurais pu voguer ainsi durant une éternité, seulement tu ne l'aurais pas accepté.
Comme à ton habitude, tu m'attendais sur le canapé du salon, un verre de Scotch Wisky dans la main droite, la bouteille du breuvage impur dans l'autre. Ton regard froid me glaçait le sang. Où était passé ton sourire chaleureux de ce matin ? Où étaient parties les larmes que tu as versé plus tôt au téléphone ?
Je m'avançais vers la cuisine, comme si de rien n'était, tout en espérant que pour une fois tu m'ignorerais. Idiotie de première, tu te relevais et manquais de briser la bouteille sur le sol, ce qui t'aurais rendu encore plus grincheux. La question fatidique arriva... Comme tous les soirs. Qu'est ce que je faisais ? Où j'étais ?
Si seulement tu savais à quel point je préférais le froid glacial de dehors à ta chaleur meurtrière. Tes yeux étaient comme les iris des félins prêts à bondir sur leur proie. J'eus un mouvement de recul instinctif, la pièce devenait suffocante. La tension qui y régnait, était à son apogée. Tu t'avançais encore plus près de moi, jusqu'à ce que ton corps se colle au mien. Combien de verre avais-tu bu ? Qu’allais-tu me reprocher cette fois ci ? Ta mauvaise humeur habituelle ? Une mauvaise remarque de ton patron ? La fille du second qui ne t’adressa pas parole ? Ton homosexualité ? Mais tu le savais parfaitement ChanSung... Je n’étais pas responsable de tout ça...
J'avais mal. Je n'en pouvais plus, Pourquoi n'étais tu pas aussi doux qu’avant ? Mon corps me faisait souffrir, mes yeux pleuraient tous seuls, mes bras étaient recouverts de bleus et ma lèvre saignait. Et toi, tu riais, tu souriais. Tu éprouvais peut être même du plaisir à me faire tout ça. Mais moi non. Je ne pouvais pas, je ne voulais pas. Je m’ordonnais de maudire ce regard si expressif que j'aime tant. Je voulais oublier ce sourire qui me faisait oublier mes peines. Je désirais vraiment effacer ces phrases de mon esprit qui, pendant les moments horribles que tu me faisais subir, me faisaient revenir vers toi. J'aurais vraiment aimé... Mais je ne le pouvais pas.
Voilà maintenant une heure que tu t'acharnais sur mon corps meurtri par tes cours de bassin. Voici une heure que je priais le ciel pour que tu arrêtes.
Maintenant que tu as terminé, je n'ai plus la force de me lever. J’étais paralysée. Pourtant je voudrais te quitter. Te laisser. Partir.
"Je t'aime". C'était la seule chose que tu murmurais à mon oreille. Dans un dernier soupir tu m'avais prit dans tes bras, pour finir par pleurer jusqu'à ce que le sommeil t'emporte dans un monde très loin de moi.
Demain matin tu me souriras, puis demain soir, tu me maudiras...
Rainting : PG
Pairing : ChanHo
Genre : Angst/Yaoi
Disclamer : Seule la bouteille de Scotch Wisky m'appartient !
Notes de l'auteur : Je remercie quelqu'un pour m'avoir donné l'idée général, et le moral pour l'écrire.
Ainsi que SnowWhite, pour la première lecture, le premier avis, ainsi que la correction. Je t'aime ptite puce ♥. En fait, je ne sais pas pourquoi mais j'ai envie de mettre cette OS là parce que j'en ai écris une partie en écoutant les U Kiss.
Lorsque tes mains me caressent je me sens défaillir, lorsque ton souffle chatouille mon cou je ne peux qu’apprécier. Alors, explique-moi pourquoi j'ai si mal de ta façon d’agir ?
La neige recouvrait les trottoirs, les quelques passants assez courageux pour sortir ne s'attardaient pas. Je pouvais entendre autour de moi les rires des enfants, les chants de quelques groupes de choristes. Je pouvais sentir le vent frais secouer mes cheveux, je pouvais aussi regarder les vitrines illuminées essayant d'apporter un peu de lumières dans les coins sombres. Je n’étais pas pressé de rentrer, à côté de notre appartement, cette rue me semblait plus accueillante malgré le froid. J'aurais pu voguer ainsi durant une éternité, seulement tu ne l'aurais pas accepté.
Comme à ton habitude, tu m'attendais sur le canapé du salon, un verre de Scotch Wisky dans la main droite, la bouteille du breuvage impur dans l'autre. Ton regard froid me glaçait le sang. Où était passé ton sourire chaleureux de ce matin ? Où étaient parties les larmes que tu as versé plus tôt au téléphone ?
Je m'avançais vers la cuisine, comme si de rien n'était, tout en espérant que pour une fois tu m'ignorerais. Idiotie de première, tu te relevais et manquais de briser la bouteille sur le sol, ce qui t'aurais rendu encore plus grincheux. La question fatidique arriva... Comme tous les soirs. Qu'est ce que je faisais ? Où j'étais ?
Si seulement tu savais à quel point je préférais le froid glacial de dehors à ta chaleur meurtrière. Tes yeux étaient comme les iris des félins prêts à bondir sur leur proie. J'eus un mouvement de recul instinctif, la pièce devenait suffocante. La tension qui y régnait, était à son apogée. Tu t'avançais encore plus près de moi, jusqu'à ce que ton corps se colle au mien. Combien de verre avais-tu bu ? Qu’allais-tu me reprocher cette fois ci ? Ta mauvaise humeur habituelle ? Une mauvaise remarque de ton patron ? La fille du second qui ne t’adressa pas parole ? Ton homosexualité ? Mais tu le savais parfaitement ChanSung... Je n’étais pas responsable de tout ça...
J'avais mal. Je n'en pouvais plus, Pourquoi n'étais tu pas aussi doux qu’avant ? Mon corps me faisait souffrir, mes yeux pleuraient tous seuls, mes bras étaient recouverts de bleus et ma lèvre saignait. Et toi, tu riais, tu souriais. Tu éprouvais peut être même du plaisir à me faire tout ça. Mais moi non. Je ne pouvais pas, je ne voulais pas. Je m’ordonnais de maudire ce regard si expressif que j'aime tant. Je voulais oublier ce sourire qui me faisait oublier mes peines. Je désirais vraiment effacer ces phrases de mon esprit qui, pendant les moments horribles que tu me faisais subir, me faisaient revenir vers toi. J'aurais vraiment aimé... Mais je ne le pouvais pas.
Voilà maintenant une heure que tu t'acharnais sur mon corps meurtri par tes cours de bassin. Voici une heure que je priais le ciel pour que tu arrêtes.
Maintenant que tu as terminé, je n'ai plus la force de me lever. J’étais paralysée. Pourtant je voudrais te quitter. Te laisser. Partir.
"Je t'aime". C'était la seule chose que tu murmurais à mon oreille. Dans un dernier soupir tu m'avais prit dans tes bras, pour finir par pleurer jusqu'à ce que le sommeil t'emporte dans un monde très loin de moi.
Demain matin tu me souriras, puis demain soir, tu me maudiras...