Auteur : Woo
Titre : Soupçon d'érotisme
Pairing : KevinXander
Genre : Yaoi/Angst/OS
Rating : PG
Résumé : Je veux faire parti de son monde, celui qu'il s'est créé. Pour n'être que tout pour lui.
Note de l'auteur : J'avais écris cette O.S il n'y a pas longtemps, mais sur papier. Je le dédicasse comme même à Yuki.
Mes parents n'étaient pas riches, j'avais toujours dû me débrouiller seul. Depuis maintenant deux ans, je survis dans ce monde de fauve, grâce à la prostitution. "Prostitution", je trouve que ce mot sonne tellement bien. Tous les soirs depuis deux ans, je vis sous ce même train-train quotidien, tous les soirs je sors de chez moi sous les accablements de reproches de mon père, et les pleurs de ma mère. Tous les soirs je prend ce même métro infesté de personnes qui sentent l'alcool, fument cigarettes sur cigarettes et me parlent d'une voix morne et lente pour savoir si je n'aurais pas un won à leur donner. Tous les soirs je remonte cette grande rue de Séoul qui fait la fierté de son pays, de part ses atouts touristiques et économiques. Car oui, je suis une de ses marchandises qui fait vivre le régime capitaliste de la Corée, je fais parti de cette masse de produits qui fait battre le coeur de cette socièté. Tous les soirs je tourne à cette ruelle remplie de prostituée et autres personnes appelées "vermines" par ces soit-disantes grandes classes sociales de la communauté. Tous les soirs je rentre dans ce hall grand et éclairé, où les clients attendent que leur "repas" leur soit livré. Tous les soirs j'espère qu'il me choisira, voilà mon quotidien.
La pièce sombre m'oppresse par son parfum lourd et la lumière tamisée me donne une sensation de claustrophobie. La douleur de mon bassin me rappel la férocité avec laquelle mon premier client m'a pris un peu plus tôt dans la soirée, et je ne peux bouger de ma chaise sans exprimer, par une grimace, la déchirure que je ressens en bas de mes reins. La vie n'est pas un conte de fée, et je le sais. Mais comme un enfant rêve en lisant l'histoire de La Belle et La Bête, moi je rêve en me disant qu'il viendra, et me sortira de là. Je ne déteste pas ma vie, ni mon quotidien, seulement, pour la beauté de la chose, j'aime laisser mon esprit vagabonder et imaginer toutes sortes de scènes héroïques ou romantiques qui ne se produiraient jamais dans la réalité. La pendule affiche 22heures, l'heure à laquelle IL arrive d'habitude. Je tourne la tête de droite et de gauche, en espèrant que mon visage ne traduise aucunes des douleurs que je ressens à chaque fois que je bouge. Mon empressement est de plus en plus grand, mes mains deviennent moîtes, ma bouche est sèche, et mon corps tremble d'excitation et d'angoisse. Alors que je tourne la tête une dernière fois en direction de la porte principale qui mène au hall, cette dernière s'ouvre et laisse échapper un rayon lumineux si claire, que la pièce semble être débarrassée de tous ce qui me donner l'impression d'être étreind. Mon regard reste figé sur la seule tâche d'ombre qui est apparue, je le sais, c'est lui. Mon rythme cardiaque s'accélère, une goutte de sueur coule le long de mon cou, ce soir aurais-je le courage d'aller l'aborder ?
La porte se referme doucement, me donnant la même sensation de claustrophobie. Lui, marche en direction du bar sans accorder le moindre regard à qui que ce soit. Depuis la première fois que je l'ai vu, j'ai toujours idéalisé tout ce qu'il est et représente, cette image de preux chevalier que je me fais de lui, n'est qu'une illusion que je me fais pour croire en un avenir meilleur. Je suis comme tous les êtres humains, j'ai besoin de croire. Croire en quelque chose de matériel ou non, là n'est pas la question, le principe commun à tous est de croire. Aussi loin que l'on remonte dans le temps, l'homme a toujours eu besoin de se raccrocher à ce sentiment de croyance pour ce protéger, ou tout simplement expliquer ce qui ne n'était pas explicable. Moi, je crois en lui et à tout ce qu'il représente pour moi, l'image même de l'homme fort, brave et réfléchi. Moi qui suis tout l'inverse, il incarne un idéal auquel je ne pourrais prétendre être un jour. Je me lève et me dirige de même vers le bar pour prendre une chaise à ses côtés. Un verre de Vodka pomme à la main, son regard se fige sur les danseuses qui, pour un billet peuvent montrer les parties les plus intimes de leur corps. Alors que son esprit vague à la contemplation d'un spectacle grottesque, je m'autorise à admirer chaque parcelle de son visage. Ses grands yeux marrons, qui semblent s'ouvrir vers le monde pour en observer chaques recoins, sa bouche ronde et pulpeuse qui donnent envie d'y goûter, ses traits fins qui rendent son visage si sublime. C'est tout cela qui, dés le premier soir où je l'ai vu m'a rendu dingue de lui. Je me sens comme une fan qui aimerait son idole, comme une maman qui serait gâteuse de son enfant, comme un princesse qui serait folle de son prince.
Mon tout premier souvenir remonte à il y a un an, il venait passer sa première soirée à la boîte en compagnie de quelques amis, il me semble. Nous nous étions retrouvés assis l'un à côté de l'autre, et je me souviens de la sensation d'admiration que j'avais alors eu pour lui des le premier regard et qui s'était accentué dés le premier. "Admiration", c'est sans doute une exagération de ma part, mais il m'avait tellement hypnotisé. "Alexander", ce nom que je n'oublierais jamais, que je chérirais jusqu'à le donner à mon fils. Je m'étais, seulement, trouvé tellement captivé par cet homme, que lorsqu'il m'aborda plus directement je ne sus que répondre. Il m'abandonna à mon siège, ne me laissant que un prénom, et un arrière goût amer de défaîte face à mon manque confiance en moi.
Alors que je me perd dans mes pensées, un bras vient encercler ma taille et lorsque je me rend compte que ce membre lui appartient, il m'offre son plus beau sourire et se penche pour me murmurer d'une voix suave "Je me demandais quand allais-tu passer à l'action."
Je me sens à la fois surpris et heureux de sa remarque, il m'attendait, tout comme moi je l'attendais, et un sourire de satisfaction vient étirer mes lèvres. Son emprise sur moi se resserre, de façon à ce que je me retrouve si prés de lui que je peux sentir son souffle chaud contre mes lèvres. Je l'ai si longtemps attendu, que je ne peux resister à la tentation, mes lèvres se scellent aux siennes de façon rapide mais douce. Un regard, et nous nous comprenons, il me suit à travers les multitudes de tables et fauteuils, jusqu'à arriver à une porte cachée derrière un rideau. Cette dernière ouvre sur une pièce aux tapisseries rouges, et bordeaux. Un lit à baldaquins, aux draps en soie trône au milieu de la chambre, seule une ampoule à l'abajour rouge illumine, du peu de lumière qu'elle dégage, l'endroit. Un sentiment d'érotisme prend déjà part de moi, mes yeux traduisent toute l'excitation, et l'envie que j'ai pour lui en ce moment. Mes mains commencent à parcourir son corps de manière sensuelle, je le veux.
Il ne tarde pas à suivre les mêmes gestes que moi, ses mains ôtent ma chemise, qui tombe par terre dans un bruit sourd. Tandis que les miennes font de même avec son pantalon, l'une de ses mains s'arrête dans son oeuvre pour décoiffer mes cheveux blonds. Ses lèvres se font de plus en plus pressantes contre les miennes, j'aime sa façon de m'embrasser. Je me délecte de sa façon de prendre position sur mon corps, je m'abreuve de sa manière de déguster mon cou, je savoure l'emprise qu'il peut avoir sur moi de par ses caresses. Les pressions de son corps contre le mien m'enivre, je n'ai plus conscience de qui se passe autour de moi, seul ses mains sur mon intimité me rappel l'endroit où je suis. Je me sens livré à lui, totalement dépendant de ces gestes, il est mon héroïne.
Les caresses qu'il me fait sont de plus en plus rapide et les premiers signes de plaisir sortent de ma bouche. Dans une parfaite union, nos corps bougent à l'unisson, je me sens en parfait accord avec son corps. La tempèrature de la pièce doit être à son maximum, depuis combien de temps sommes nous enfermés ? Je ne le sais pas, seul son corps collé au mien me donne une sensation de réalité. Ce soir la princesse a réalisé son conte de fée, ce soir le prince est venu la chercher. Je me sens prêt à atterir au septième ciel, je me sens prêt à tout lui donner au risque de tout perdre. Et même si l'illusion de cette nuit n'est qu'éphémère, je veux en faire le plus beau de mes souvenirs, seulement parce que c'est lui.
Ses coups de reins se font de plus en plus violents et brusques, mais restent toujours aussi doux et amoureux. Ses lévres contre les miennes me donnent le sentiment d'être aimé, et chôyer. Ses mains sont comme la soie, et font frissoner chaques parcelles de mon corps. Je me sens emporté dans un monde qui n'est pas le mien, un monde que je ne connaitrais surement qu'une fois. Alors qu'il applique des mouvements de va et vient sur mon intimité, je pousse un dernier cri de plaisir avant de tomber, en même temps que lui, comme une masse sur les oreillers. Son dernier cri emplit encore mes oreilles d'une douce note de musique, son parfum masque toutes autres odeurs que je pourrais sentir, son corps contre le mien me colle de façon protectrice. Alors qu'il prend une meilleure position à mes côtés, ses lèvres cherchent les miennes pour les sceller dans un dernier baiser.
Je voulais faire parti de son monde, je le voulais pour moi tout seul. Je veux être la seule chose au monde qui compte pour lui. Je veux être sa moitié, son amant. Son érotisme.
Titre : Soupçon d'érotisme
Pairing : KevinXander
Genre : Yaoi/Angst/OS
Rating : PG
Résumé : Je veux faire parti de son monde, celui qu'il s'est créé. Pour n'être que tout pour lui.
Note de l'auteur : J'avais écris cette O.S il n'y a pas longtemps, mais sur papier. Je le dédicasse comme même à Yuki.
Mes parents n'étaient pas riches, j'avais toujours dû me débrouiller seul. Depuis maintenant deux ans, je survis dans ce monde de fauve, grâce à la prostitution. "Prostitution", je trouve que ce mot sonne tellement bien. Tous les soirs depuis deux ans, je vis sous ce même train-train quotidien, tous les soirs je sors de chez moi sous les accablements de reproches de mon père, et les pleurs de ma mère. Tous les soirs je prend ce même métro infesté de personnes qui sentent l'alcool, fument cigarettes sur cigarettes et me parlent d'une voix morne et lente pour savoir si je n'aurais pas un won à leur donner. Tous les soirs je remonte cette grande rue de Séoul qui fait la fierté de son pays, de part ses atouts touristiques et économiques. Car oui, je suis une de ses marchandises qui fait vivre le régime capitaliste de la Corée, je fais parti de cette masse de produits qui fait battre le coeur de cette socièté. Tous les soirs je tourne à cette ruelle remplie de prostituée et autres personnes appelées "vermines" par ces soit-disantes grandes classes sociales de la communauté. Tous les soirs je rentre dans ce hall grand et éclairé, où les clients attendent que leur "repas" leur soit livré. Tous les soirs j'espère qu'il me choisira, voilà mon quotidien.
La pièce sombre m'oppresse par son parfum lourd et la lumière tamisée me donne une sensation de claustrophobie. La douleur de mon bassin me rappel la férocité avec laquelle mon premier client m'a pris un peu plus tôt dans la soirée, et je ne peux bouger de ma chaise sans exprimer, par une grimace, la déchirure que je ressens en bas de mes reins. La vie n'est pas un conte de fée, et je le sais. Mais comme un enfant rêve en lisant l'histoire de La Belle et La Bête, moi je rêve en me disant qu'il viendra, et me sortira de là. Je ne déteste pas ma vie, ni mon quotidien, seulement, pour la beauté de la chose, j'aime laisser mon esprit vagabonder et imaginer toutes sortes de scènes héroïques ou romantiques qui ne se produiraient jamais dans la réalité. La pendule affiche 22heures, l'heure à laquelle IL arrive d'habitude. Je tourne la tête de droite et de gauche, en espèrant que mon visage ne traduise aucunes des douleurs que je ressens à chaque fois que je bouge. Mon empressement est de plus en plus grand, mes mains deviennent moîtes, ma bouche est sèche, et mon corps tremble d'excitation et d'angoisse. Alors que je tourne la tête une dernière fois en direction de la porte principale qui mène au hall, cette dernière s'ouvre et laisse échapper un rayon lumineux si claire, que la pièce semble être débarrassée de tous ce qui me donner l'impression d'être étreind. Mon regard reste figé sur la seule tâche d'ombre qui est apparue, je le sais, c'est lui. Mon rythme cardiaque s'accélère, une goutte de sueur coule le long de mon cou, ce soir aurais-je le courage d'aller l'aborder ?
La porte se referme doucement, me donnant la même sensation de claustrophobie. Lui, marche en direction du bar sans accorder le moindre regard à qui que ce soit. Depuis la première fois que je l'ai vu, j'ai toujours idéalisé tout ce qu'il est et représente, cette image de preux chevalier que je me fais de lui, n'est qu'une illusion que je me fais pour croire en un avenir meilleur. Je suis comme tous les êtres humains, j'ai besoin de croire. Croire en quelque chose de matériel ou non, là n'est pas la question, le principe commun à tous est de croire. Aussi loin que l'on remonte dans le temps, l'homme a toujours eu besoin de se raccrocher à ce sentiment de croyance pour ce protéger, ou tout simplement expliquer ce qui ne n'était pas explicable. Moi, je crois en lui et à tout ce qu'il représente pour moi, l'image même de l'homme fort, brave et réfléchi. Moi qui suis tout l'inverse, il incarne un idéal auquel je ne pourrais prétendre être un jour. Je me lève et me dirige de même vers le bar pour prendre une chaise à ses côtés. Un verre de Vodka pomme à la main, son regard se fige sur les danseuses qui, pour un billet peuvent montrer les parties les plus intimes de leur corps. Alors que son esprit vague à la contemplation d'un spectacle grottesque, je m'autorise à admirer chaque parcelle de son visage. Ses grands yeux marrons, qui semblent s'ouvrir vers le monde pour en observer chaques recoins, sa bouche ronde et pulpeuse qui donnent envie d'y goûter, ses traits fins qui rendent son visage si sublime. C'est tout cela qui, dés le premier soir où je l'ai vu m'a rendu dingue de lui. Je me sens comme une fan qui aimerait son idole, comme une maman qui serait gâteuse de son enfant, comme un princesse qui serait folle de son prince.
Mon tout premier souvenir remonte à il y a un an, il venait passer sa première soirée à la boîte en compagnie de quelques amis, il me semble. Nous nous étions retrouvés assis l'un à côté de l'autre, et je me souviens de la sensation d'admiration que j'avais alors eu pour lui des le premier regard et qui s'était accentué dés le premier. "Admiration", c'est sans doute une exagération de ma part, mais il m'avait tellement hypnotisé. "Alexander", ce nom que je n'oublierais jamais, que je chérirais jusqu'à le donner à mon fils. Je m'étais, seulement, trouvé tellement captivé par cet homme, que lorsqu'il m'aborda plus directement je ne sus que répondre. Il m'abandonna à mon siège, ne me laissant que un prénom, et un arrière goût amer de défaîte face à mon manque confiance en moi.
Alors que je me perd dans mes pensées, un bras vient encercler ma taille et lorsque je me rend compte que ce membre lui appartient, il m'offre son plus beau sourire et se penche pour me murmurer d'une voix suave "Je me demandais quand allais-tu passer à l'action."
Je me sens à la fois surpris et heureux de sa remarque, il m'attendait, tout comme moi je l'attendais, et un sourire de satisfaction vient étirer mes lèvres. Son emprise sur moi se resserre, de façon à ce que je me retrouve si prés de lui que je peux sentir son souffle chaud contre mes lèvres. Je l'ai si longtemps attendu, que je ne peux resister à la tentation, mes lèvres se scellent aux siennes de façon rapide mais douce. Un regard, et nous nous comprenons, il me suit à travers les multitudes de tables et fauteuils, jusqu'à arriver à une porte cachée derrière un rideau. Cette dernière ouvre sur une pièce aux tapisseries rouges, et bordeaux. Un lit à baldaquins, aux draps en soie trône au milieu de la chambre, seule une ampoule à l'abajour rouge illumine, du peu de lumière qu'elle dégage, l'endroit. Un sentiment d'érotisme prend déjà part de moi, mes yeux traduisent toute l'excitation, et l'envie que j'ai pour lui en ce moment. Mes mains commencent à parcourir son corps de manière sensuelle, je le veux.
Il ne tarde pas à suivre les mêmes gestes que moi, ses mains ôtent ma chemise, qui tombe par terre dans un bruit sourd. Tandis que les miennes font de même avec son pantalon, l'une de ses mains s'arrête dans son oeuvre pour décoiffer mes cheveux blonds. Ses lèvres se font de plus en plus pressantes contre les miennes, j'aime sa façon de m'embrasser. Je me délecte de sa façon de prendre position sur mon corps, je m'abreuve de sa manière de déguster mon cou, je savoure l'emprise qu'il peut avoir sur moi de par ses caresses. Les pressions de son corps contre le mien m'enivre, je n'ai plus conscience de qui se passe autour de moi, seul ses mains sur mon intimité me rappel l'endroit où je suis. Je me sens livré à lui, totalement dépendant de ces gestes, il est mon héroïne.
Les caresses qu'il me fait sont de plus en plus rapide et les premiers signes de plaisir sortent de ma bouche. Dans une parfaite union, nos corps bougent à l'unisson, je me sens en parfait accord avec son corps. La tempèrature de la pièce doit être à son maximum, depuis combien de temps sommes nous enfermés ? Je ne le sais pas, seul son corps collé au mien me donne une sensation de réalité. Ce soir la princesse a réalisé son conte de fée, ce soir le prince est venu la chercher. Je me sens prêt à atterir au septième ciel, je me sens prêt à tout lui donner au risque de tout perdre. Et même si l'illusion de cette nuit n'est qu'éphémère, je veux en faire le plus beau de mes souvenirs, seulement parce que c'est lui.
Ses coups de reins se font de plus en plus violents et brusques, mais restent toujours aussi doux et amoureux. Ses lévres contre les miennes me donnent le sentiment d'être aimé, et chôyer. Ses mains sont comme la soie, et font frissoner chaques parcelles de mon corps. Je me sens emporté dans un monde qui n'est pas le mien, un monde que je ne connaitrais surement qu'une fois. Alors qu'il applique des mouvements de va et vient sur mon intimité, je pousse un dernier cri de plaisir avant de tomber, en même temps que lui, comme une masse sur les oreillers. Son dernier cri emplit encore mes oreilles d'une douce note de musique, son parfum masque toutes autres odeurs que je pourrais sentir, son corps contre le mien me colle de façon protectrice. Alors qu'il prend une meilleure position à mes côtés, ses lèvres cherchent les miennes pour les sceller dans un dernier baiser.
Je voulais faire parti de son monde, je le voulais pour moi tout seul. Je veux être la seule chose au monde qui compte pour lui. Je veux être sa moitié, son amant. Son érotisme.