Auteur : Woo
Titre : Histoire d'un soir.
Genre : Yaoi/OS
Pairing : DongKi
Raiting :-15
Résumé : Juste le temps d'un soir, laisse moi goûter à toi.
Notes de l'auteur : J'ai longtemps cherché comment tourné l'histoire avec un pairing aussi étonnant. Je ne voulais pas non plus tourné complètement au viol, et je ne voulais pas non plus refaire un amour à sens unique. Bref pas de « Angst » pour une fois. Alors bon, je me suis dit que faire de l'histoire juste une histoire d'un soir d'où le titre héhéhé je me suis dis que cela serait bien !
Alors voilà, pour toi ma petite Lise, cet OS tout chaud.
La fête battait son plein depuis deux heures maintenant et les invités s’abreuvaient des diverses substances que leur employées leur servaient. Je me sentais déjà bien par les quelques verres que j'avais terminé et négligemment posé un peu partout dans l'appartement, je m'étais assis sur le canapé en velours du salon, et je m'appliquais à observer le monde tourner autour de moi. Les filles invitées à cette petite sauterie dansaient de façon sensuelle et repéraient les hommes potentiels de les divertir un temps soit peu; les garçons quand à eux restaient en bande et observaient, avec souvent beaucoup d'entrain, les diablesses qui usaient continuellement de leurs charmes. Et moi, du haut de mes 16 ans je regardais d'un œil lasse ce spectacle de dévergondées, tandis qu'à mes côtés Alexander semblait se délecter de ce qui représentait pour moi quelque chose de totalement inintéressant. La lumière vive de la pièce commençait à faire remonter l'alcool encré dans mon sang, ma tête me faisait mal et un poids dans mon estomac m'obligea à me relever et à me diriger vers la porte fenêtre qui donnait sur un balcon. Une fois au niveau de la barre, je me laissais aller à cette vue magnifique qu'est Séoul illuminée, et tandis que je contemplais ma ville, une main se posa délicatement sur la mienne et me fît tourner sur moi-même, si bien que je me retrouvais en face de cet inconnu. En un coup d’œil, je sus qui il était, Lee Hong Ki ; ses cheveux devenus blond-gris depuis une semaine, retombaient aux niveau de ses épaules, et ses grands yeux marrons me détaillaient avec insistance. J'essayais tant bien que mal de résister à son regard si prenant, mais mon ventre se tordit de douleurs, une douleur que je ne connaissais pas. Une douleur si délicieuse et mortelle, qu'elle vous prend petit à petit tout votre corps jusqu'à en arriver à la partie la plus intime. Son souffle chaud parcourait l'échine de mon cou, son regard envoutait le mien et ses cheveux chatouillaient mon front de façon mesquine. L'odeur de son parfum embrumait mes narines de délicates effluves de noisette, je me sentais comme aspiré par sa personne et mes mains ne cessaient d'hésiter à toucher cet être si attrayant.
La fête continuait toujours à battre son plein malgré l'heure tardive, et les invités commençaient à se comporter de façon de plus en plus provocatrice. Celles qui, pour l'image public, se faisaient passer pour prudes n'en étaient pas moins sensuelles et excitantes, tandis que ceux qui, pour les mêmes raisons, se faisaient passer pour des enfants de cœur, ne se privaient pas de poser leur mains sales sur les corps de ces jeunes dames. Et moi, comme à mon habitude, j'observais ce spectacle qui devenait intensément pornographique. Hong Ki était assis prêt du bar et ne semblait pas montrer un grand intérêt à ce qui se passait, son regard se fixait sur le canapé où je m'étais assis, ou alors il se fixait là où nous nous étions retrouvés seuls quelques heures plus tôt. Je ne pouvais m'empêcher de lui jeter quelques coup d’œil, non pour vérifier que l'une de ces tigresses ne s'approche de lui, mais simplement parce que sa vue seule me suffisait à me contenter. D'un geste inconscient, je passais ma main sur mes lèvres comme pour essayer de récupérer les traces qu'avaient pu laisser les siennes. Mes yeux se fermèrent doucement et un sourire étrange étirait mes lèvres au souvenir de ce baiser, mon cœur s'accélérait et cette douleur me pris à nouveau mon corps de façon brusque et appréciable. Une main vînt se poser sur mes épaules, mon regard se tourna vers mon invité de façon lente et mesurée. Je savais qu'il était venu à moi, et le simple fait de le sentir près de moi me mettait encore plus en transe. Instinctivement, je calais ma tête au niveau de son épaule, et je recommençais à regarder ce spectacle désolant, la nuit promettait d'être longue.
Sa main parcourait chaque parcelle de ma peau, ses lèvres goûtaient les petits bouts de chair rose au niveau de ma poitrine et ma respiration se faisait de plus en plus saccadée. Je n'arrivais pas à bouger, mes mains étaient attachées aux barreaux du lit si bien que je ne pouvais que recevoir et non donner. Je n'aimais pas cette soumission, mais je ne pouvais faire autrement du fait qu'il était plus vieux que moi. Je me laissais donc aller à ses gestes, tout en essayant d'être le plus excitant possible en poussant des petits gémissements, je voulais qu'il me prenne avec force et passion, je voulais qu'il prenne entièrement possession de moi. Ses coup de bassin me donnaient l'impression d'être de plus en plus faible, tandis que ses lèvres ne cessaient de se sceller aux miennes et mon corps ne répondait plus qu'à ses caresses. La pièce autour de nous n'existait plus, juste pour une fois je voulais l'avoir, juste pour une fois je voulais connaître la sensation d'être dans ses bras. Juste pour une nuit je voulais qu'il s’approprie ma personne de façon sale et excitante.
Titre : Histoire d'un soir.
Genre : Yaoi/OS
Pairing : DongKi
Raiting :-15
Résumé : Juste le temps d'un soir, laisse moi goûter à toi.
Notes de l'auteur : J'ai longtemps cherché comment tourné l'histoire avec un pairing aussi étonnant. Je ne voulais pas non plus tourné complètement au viol, et je ne voulais pas non plus refaire un amour à sens unique. Bref pas de « Angst » pour une fois. Alors bon, je me suis dit que faire de l'histoire juste une histoire d'un soir d'où le titre héhéhé je me suis dis que cela serait bien !
Alors voilà, pour toi ma petite Lise, cet OS tout chaud.
La fête battait son plein depuis deux heures maintenant et les invités s’abreuvaient des diverses substances que leur employées leur servaient. Je me sentais déjà bien par les quelques verres que j'avais terminé et négligemment posé un peu partout dans l'appartement, je m'étais assis sur le canapé en velours du salon, et je m'appliquais à observer le monde tourner autour de moi. Les filles invitées à cette petite sauterie dansaient de façon sensuelle et repéraient les hommes potentiels de les divertir un temps soit peu; les garçons quand à eux restaient en bande et observaient, avec souvent beaucoup d'entrain, les diablesses qui usaient continuellement de leurs charmes. Et moi, du haut de mes 16 ans je regardais d'un œil lasse ce spectacle de dévergondées, tandis qu'à mes côtés Alexander semblait se délecter de ce qui représentait pour moi quelque chose de totalement inintéressant. La lumière vive de la pièce commençait à faire remonter l'alcool encré dans mon sang, ma tête me faisait mal et un poids dans mon estomac m'obligea à me relever et à me diriger vers la porte fenêtre qui donnait sur un balcon. Une fois au niveau de la barre, je me laissais aller à cette vue magnifique qu'est Séoul illuminée, et tandis que je contemplais ma ville, une main se posa délicatement sur la mienne et me fît tourner sur moi-même, si bien que je me retrouvais en face de cet inconnu. En un coup d’œil, je sus qui il était, Lee Hong Ki ; ses cheveux devenus blond-gris depuis une semaine, retombaient aux niveau de ses épaules, et ses grands yeux marrons me détaillaient avec insistance. J'essayais tant bien que mal de résister à son regard si prenant, mais mon ventre se tordit de douleurs, une douleur que je ne connaissais pas. Une douleur si délicieuse et mortelle, qu'elle vous prend petit à petit tout votre corps jusqu'à en arriver à la partie la plus intime. Son souffle chaud parcourait l'échine de mon cou, son regard envoutait le mien et ses cheveux chatouillaient mon front de façon mesquine. L'odeur de son parfum embrumait mes narines de délicates effluves de noisette, je me sentais comme aspiré par sa personne et mes mains ne cessaient d'hésiter à toucher cet être si attrayant.
La fête continuait toujours à battre son plein malgré l'heure tardive, et les invités commençaient à se comporter de façon de plus en plus provocatrice. Celles qui, pour l'image public, se faisaient passer pour prudes n'en étaient pas moins sensuelles et excitantes, tandis que ceux qui, pour les mêmes raisons, se faisaient passer pour des enfants de cœur, ne se privaient pas de poser leur mains sales sur les corps de ces jeunes dames. Et moi, comme à mon habitude, j'observais ce spectacle qui devenait intensément pornographique. Hong Ki était assis prêt du bar et ne semblait pas montrer un grand intérêt à ce qui se passait, son regard se fixait sur le canapé où je m'étais assis, ou alors il se fixait là où nous nous étions retrouvés seuls quelques heures plus tôt. Je ne pouvais m'empêcher de lui jeter quelques coup d’œil, non pour vérifier que l'une de ces tigresses ne s'approche de lui, mais simplement parce que sa vue seule me suffisait à me contenter. D'un geste inconscient, je passais ma main sur mes lèvres comme pour essayer de récupérer les traces qu'avaient pu laisser les siennes. Mes yeux se fermèrent doucement et un sourire étrange étirait mes lèvres au souvenir de ce baiser, mon cœur s'accélérait et cette douleur me pris à nouveau mon corps de façon brusque et appréciable. Une main vînt se poser sur mes épaules, mon regard se tourna vers mon invité de façon lente et mesurée. Je savais qu'il était venu à moi, et le simple fait de le sentir près de moi me mettait encore plus en transe. Instinctivement, je calais ma tête au niveau de son épaule, et je recommençais à regarder ce spectacle désolant, la nuit promettait d'être longue.
Sa main parcourait chaque parcelle de ma peau, ses lèvres goûtaient les petits bouts de chair rose au niveau de ma poitrine et ma respiration se faisait de plus en plus saccadée. Je n'arrivais pas à bouger, mes mains étaient attachées aux barreaux du lit si bien que je ne pouvais que recevoir et non donner. Je n'aimais pas cette soumission, mais je ne pouvais faire autrement du fait qu'il était plus vieux que moi. Je me laissais donc aller à ses gestes, tout en essayant d'être le plus excitant possible en poussant des petits gémissements, je voulais qu'il me prenne avec force et passion, je voulais qu'il prenne entièrement possession de moi. Ses coup de bassin me donnaient l'impression d'être de plus en plus faible, tandis que ses lèvres ne cessaient de se sceller aux miennes et mon corps ne répondait plus qu'à ses caresses. La pièce autour de nous n'existait plus, juste pour une fois je voulais l'avoir, juste pour une fois je voulais connaître la sensation d'être dans ses bras. Juste pour une nuit je voulais qu'il s’approprie ma personne de façon sale et excitante.