Genre : Romance, Angst.
Pairing : SooVin
Notes de l'auteur : Bordel ! J'ai l'impression que cela fait des lustres que je n'ai rien posté ici O.O
J'espère que cela vous plaira =)
La pluie tombait depuis ce matin, et n'ayant d'autres occupations, je me contentais de regarder ces dessins animés que tu aimais tant. Comme un enfant, tes yeux reflétaient chacunes de tes émotions : la suprise, la joie, la peine et tu serrais tout contre ta poitrine cette peluche déraîchie par le temps que je t'avais offerte. Une grotte apparait à l'écran et un lion, accompagné de quelques hyènes affreusement ridicules se mettaient à chanter sur un fond de musique pseudo-angoissante. Je riais de ce spectacle tandis que toi, si naïf, tu te mettais à trembler et tes yeux s'écarquillèrent de peur. D'un geste protecteur, je te pris contre moi et je profitais de cet instant, en apparence inodine pour me délecter de ce parfum que j'affectionne tant.
Chaque cigarette que je fume est un signe d'abandon aux sentiments que je nourris pour toi. Et l'espoir que chacune de mes inspirations empoisonnent l'amour que je te porte, tout comme l'envie que mes expirations arrachent ce sentiment qui m'est néfaste, grandit en moi. Je veux que ce coeur qui ne bat que pour toi s'emiète, parce que cela me détruit au plus profond de moi. Mais la sérénité apportée par la nicotine n'arriva pas à arrêter mes pleurs intérieurs, et je n'ai d'autres choix que d'accepter une nouvelle fois la fatalité de t'aimer.
Juste pour un soir, encore une fois, je m'endormirais à tes côtés pour profiter de ta chaleur, de ton odeur. C'est ce que je me dis chaque soir. Et lorsque tes bras entourent mon corps et que ton souffle caresse ma bouche, mon visage se perle pour extérioriser toute ma peine.
Innocent, pur et délicat, je ne peux t'entraîner dans cet amour si sale. Désemparé, amoureux et blessé, je ne peux me décider à ne plus t'aimer. Ce soir, j'imaginerais mes lèvres goûter les tiennes, nos yeux se dirent :"je t'aime". Peut être qu'un jour, je prononcerais ce "nous". Mais la vérité est là. Ce parquet de cigarette n'a pas eu raison de moi, et je devrais supporter, encore le temps d'un soir, ce sentiment destructeur qui pourri mon coeur. Je veux oublier que je t'ai apprécier et je désir marcher, m'éloigner. Et ne plus me retourner.
La neige refroidi l'air de son vent glacial. Seul, assis sur un banc, je ne peux que me féliciter de cet acte. Peut être que tu ne comprendras pas, surement, tu pleureras. Mais il le fallait. Je n'aurais pas pu vivre que pour toi, sans que tu ne le saches. Je n'aurais supporter te voir dans d'autres bras que les miens. Et pour cela je préfère retourner dans l'anonymat. Mon rêve n'était peut être pas assez fort pour me faire rester prés de toi. Mais je te promets que je ne te t'oublierais pas. Seulement, tu n'entendras plus ma voix, je te prendrais plus contre moi. Je te laisserais cette scène rien qu'à toi, en espèrant qu'au fond de toi-même, tu regrettes mon geste. Je veux que tu te sentes seul. Je veux que tu te rendes compte que l'importance que j'avais à tes yeux. Je veux que tu m'aimes, comme je t'aime.
Je me lèves et tourne le dos à cet immeuble, en espérant y laisser mes souvenirs, ma peine. Mon coeur.
Pairing : SooVin
Notes de l'auteur : Bordel ! J'ai l'impression que cela fait des lustres que je n'ai rien posté ici O.O
J'espère que cela vous plaira =)
Painfull innocence.
La pluie tombait depuis ce matin, et n'ayant d'autres occupations, je me contentais de regarder ces dessins animés que tu aimais tant. Comme un enfant, tes yeux reflétaient chacunes de tes émotions : la suprise, la joie, la peine et tu serrais tout contre ta poitrine cette peluche déraîchie par le temps que je t'avais offerte. Une grotte apparait à l'écran et un lion, accompagné de quelques hyènes affreusement ridicules se mettaient à chanter sur un fond de musique pseudo-angoissante. Je riais de ce spectacle tandis que toi, si naïf, tu te mettais à trembler et tes yeux s'écarquillèrent de peur. D'un geste protecteur, je te pris contre moi et je profitais de cet instant, en apparence inodine pour me délecter de ce parfum que j'affectionne tant.
Chaque cigarette que je fume est un signe d'abandon aux sentiments que je nourris pour toi. Et l'espoir que chacune de mes inspirations empoisonnent l'amour que je te porte, tout comme l'envie que mes expirations arrachent ce sentiment qui m'est néfaste, grandit en moi. Je veux que ce coeur qui ne bat que pour toi s'emiète, parce que cela me détruit au plus profond de moi. Mais la sérénité apportée par la nicotine n'arriva pas à arrêter mes pleurs intérieurs, et je n'ai d'autres choix que d'accepter une nouvelle fois la fatalité de t'aimer.
Juste pour un soir, encore une fois, je m'endormirais à tes côtés pour profiter de ta chaleur, de ton odeur. C'est ce que je me dis chaque soir. Et lorsque tes bras entourent mon corps et que ton souffle caresse ma bouche, mon visage se perle pour extérioriser toute ma peine.
Innocent, pur et délicat, je ne peux t'entraîner dans cet amour si sale. Désemparé, amoureux et blessé, je ne peux me décider à ne plus t'aimer. Ce soir, j'imaginerais mes lèvres goûter les tiennes, nos yeux se dirent :"je t'aime". Peut être qu'un jour, je prononcerais ce "nous". Mais la vérité est là. Ce parquet de cigarette n'a pas eu raison de moi, et je devrais supporter, encore le temps d'un soir, ce sentiment destructeur qui pourri mon coeur. Je veux oublier que je t'ai apprécier et je désir marcher, m'éloigner. Et ne plus me retourner.
La neige refroidi l'air de son vent glacial. Seul, assis sur un banc, je ne peux que me féliciter de cet acte. Peut être que tu ne comprendras pas, surement, tu pleureras. Mais il le fallait. Je n'aurais pas pu vivre que pour toi, sans que tu ne le saches. Je n'aurais supporter te voir dans d'autres bras que les miens. Et pour cela je préfère retourner dans l'anonymat. Mon rêve n'était peut être pas assez fort pour me faire rester prés de toi. Mais je te promets que je ne te t'oublierais pas. Seulement, tu n'entendras plus ma voix, je te prendrais plus contre moi. Je te laisserais cette scène rien qu'à toi, en espèrant qu'au fond de toi-même, tu regrettes mon geste. Je veux que tu te sentes seul. Je veux que tu te rendes compte que l'importance que j'avais à tes yeux. Je veux que tu m'aimes, comme je t'aime.
Je me lèves et tourne le dos à cet immeuble, en espérant y laisser mes souvenirs, ma peine. Mon coeur.